mardi 1 mai 2012

Learning to fly: la persévérance... et le changement...

Presque un an sans nouvel article sur mon écolage...

Car en fait presque plus rien n'a évolué depuis juin 2011:

  • les vacances et le boulot m'ont empêché de voler presque tout l'été 2011, et lors de la reprise des cours pratiques j'avais presque tout oublié, il a fallu attendre octobre 2011 pour un nouveau vol solo;
  • l'aérodrome de Saint-Hubert n'est pas indiqué en dehors de l'été: soit les pistes sont abîmées par les sangliers soit elles sont détrempées et boueuses (donc pas possible de décoller), donc, très peu de vols entre octobre 2011 et mars 2012 donc peu de progrès


N'ayant plus qu'un an pour passer mon PPL check (l'examen pratique) soit avant fin mars 2013, je dois trouver une solution... De plus, l'école à Saint-Hubert a (avait?) des règles de réservation d'avion et d'instructeur peu compatible avec une vie professionnelle active.

Je prends donc la décision de changer d'école pour aller vers Spa EBSP (www.spa-aviation.be). Pas trop de soucis, c'est vite fait mais avec quelques petites surprises:

  • je dois évidemment repayer l'inscription à un club (mais les vols en Cessna 150 sont moins chers que les vols en Cessna 172)
  • une formalité vis-à-vis du Service Public Fédéral Mobilité qui m'impose 25 heures de double commande à Spa alors que je les avais déjà à Saint-Hubert... Une assez mauvaise surprise.

Donc, depuis début avril 2012, je continue mes cours pratiques à Spa avec Benoît M. Atterrir sur une piste en dur (Spa), plate et longue est beaucoup plus simple pour moi. Par contre, il n'y a qu'une seule piste à Spa au lieu de deux à Saint-Hubert donc assez souvent j'ai le vent de travers lors de l'atterrissage (vent venant du côté gauche ou droit) chose jamais expérimentée à Saint-Hubert, donc, parfois c'est assez difficile...

Plus d'autres petits détails:

  • les check-lists beaucoup plus détaillées et précises
  • les annonces radio en anglais
  • plus de planeurs mais des parachutistes sans radio
  • pas mal de trafic international: mono-moteurs hollandais, et même des bi-moteurs d'affaire
  • circuit à main gauche => plus facile car le pilote est à gauche => meilleure visibilité
  • un rien moins d'ambiance car je ne connais personne en dehors de mon instructeur

En clair, je ne regrette pas ma décision: après qq semaines en double-commande, je suis de nouveau en solo pour les circuits d'aérodrome.

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